Et même après la saint-valentin…

2 mars 2016

Et même après la saint-valentin…

Je souffre du syndrome de la feuille blanche. Rien à écrire, source à sujets de blogging tarie, ennui, vie monotone, etc.

Je suis le salaud qui navigue entre l’infiniment grand (100 Valentin(ines)) et l’infiniment petit (Sans Valentin(ines)). De tel sorte que pris de vertige… le salaud lumineux ne réalise enfin qu’il était un être incompréhensible…

une reprise salopée par mes soins d’une sortie de Voltaire…

Vous êtes tombés par terre ;

et c’est la faute à Voltaire ?

(Rimes pourries, je sais).

L’amour est un sujet délicat. Pour en parler ici, je me suis volontairement mis dans une condition de déjanté. Un alcool local qui a longtemps macéré dans des feuilles d’herbes conseillées par le sorcier de la tribu. Et des réflexions qui retournent mon estomac jusqu’à la diarrhée finale (un bouquet si vous voulez)… La saint-valentin est déjà suffisamment rouge, je ne puis vous offrir plus de sang… A moins de vous chier des lames de rasoir.

Pour ceux ou celles qui sont dégoûtés, vous pouvez arrêter de lire ; un mental faible n’a rien à faire sur un blog salaud.

Pour ceux ou celles qui craignent que certaines Sikavi Lauress et autres Almok, m’aient jeté des sorts suite à mon précédent billet cinglant et sanglant à leur endroit, je vous rassure ; et ce raisonnement est sans équivoque ;

Au vu de la déficience accrue de paroles dans leurs chansons, on sait depuis lors que ces jeunes femmes ne lisent pas. Parler mal d’elles sur un blog écrit, est comme cacher un éléphant dans un magasin de porcelaine de 2 mètres carrés. Elles ne le verraient pas

(En ce moment-même, l’éléphant est toujours là-bas, il barrit de rire… vous aussi ? alors vous avez le même sens de l’humour qu’un éléphant ? en même temps c’est mieux que celui d’un porc…). Et Si vous n’êtes pas mort de rire, ne me facturez pas les frais de porc,… pardon de port . Pour ressentir l’orgasme des jeux de mots, il faut ouvrir son esprit ; et un peu de dictionnaire aussi.

Tous les 14 Févriers, ça fête l’amour ! et bien plus encore…

L’origine de cette fête n’en est que plus idiote. Environ 200 ans après le Christ mort et/ou vivant (qu’on me pardonne ce laïus dû à la laïcité), les soldats romains interdits de mariage par l’empereur Claude II, cherchaient désespérément un saint pour les unir en cérémonie nuptiale discrète avec leurs dulcinées. Il n’y a que l’amour pour faire sortir un militaire des rangs. Hélas, au vu de l’impériale interdiction qui planait, les saints se faisaient rares. Un véritable cancer de saints. Tous avaient disparus ! Tous ? nooooooooon… un irréductible saint du nom de Valentin prit le risque d’unir deux êtres dans les liens sacrés du mariage. Et comme il fallait s’y attendre, une fois le pot aux roses (ou le bouquet) découvert,  Valentin fut lui-même marié de force à une guillotine qui lui fit littéralement perdre la tête, un 14 Février – dixit la légende.

Et depuis, les amoureux, les uns plus idiots que les autres fêtèrent la saint-valentin à en perdre la tête en hommage à qui vous savez.

De là, de formidables déclinaisons apparurent. Notamment ceux qui n’aimèrent que les seins valentins. Dont moi, qui ai eu une enfance difficile, sevré très tôt du sein maternel. Un stress post-traumatique me poussant à aller chercher le secret du monde dans les soutien-gorge bien remplis, ou les corsages qui braquent obuts et autres pistolets de chairs auréolés et surélevés de tétons, sans aucun autre soutien en dentelles, et autre forme de procès. L’unanimité mammaire quoi…

 

La saint-valentin pour d’autres, est le moment de savoir ce que leurs copines valent en teint. Pour y arriver, ils doivent faire disparaître tous les produits de beauté à une semaine de la date fatidique et la voir noircir ou rougir, ou jaunir dans les deux jours qui suivent. Limite si elle ne pisse pas des arc-en-ciel. Toutes les filles africaines veulent montrer la blanche qui est sous leur peau noire. Alors, elles se font la peau. Là encore, littéralement !

La saint-valentin, c’est aussi le jour où les filles monnayables donnent un blanc-seing à ceux qu’elles ont saigné à blanc. (facile…)

D’après la science, l’amour est une poussée éphémère de dopamine, de noradrénaline, de prolactine, de lulibérine et d’ocytocine. Une petite molécule, la phényléthylamine (PEA), déclenche des sensations d’allégresse, d’exaltation et d’euphorie. Le coup de foudre, ce sont les neurones du système limbique qui sont saturés en PEA.

Tout ce qui a créé le 14 février résulte d’un vaste dérèglement chimique du cerveau humain. – La maladie d’amour, la vraie.

Pour rester sur le dérèglement, puis-je avec votre permission revenir sur ce fait divers qui n’en a pourtant pas l’air. Plutôt unique, comme fait, vu que ce garçon a engrossé 16 filles en une seule éjaculation dans une piscine.

Le roi swati du Swaziland, et les princes arabes  ont proposé au jeune Tommy Coulter, des contrats de Consultant. Sa mission: leur montrer comment engrosser en même temps l’ensemble des femmes composant leurs harems ?

Dans ce dernier cas comme dans d’autres d’ailleurs, cette Question de Frédéric Beigbeder, ce grand penseur français de notre siècle :

Qu’y a-t-il de pire : faire l’amour sans aimer, ou aimer sans faire l’amour ?

Me voici désenchanté !

Dans mon désespoir, et ne sachant plus à quel sein me vouer, je demandai conseils autour de moi. Les propositions que je reçus furent plus renversantes les unes que les autres. Les fréquentations d’un salaud…

On me dit d’essayer les dessins animés.

– Quoi ? répondis-je à mon interlocuteur. Ça a quel rapport ?  renchéris-je.

– J’ai dit des seins animés !

– aaaaaaah ok ok ok …

L’autre proposition plus attrayante est de prendre un abonnement chez les putes. J’ai eu des adresses de maisons-close discrètes et insoupçonnés dans ce Lomé. Le tout étant bien-sûr de faire confiance aux professionnelles pour être mieux servi que par soi-même.

Et puis on m’a enfin demandé, d’essayer à ma prochaine touche avec une fille,  de lui faire du cunnilingus ! Le truc qui prouve que le latin n’est pas une langue morte.

Langue vivante I ou langue vivante II…Toutes des matières dans le bac à l’oral?  aaaaaaah salaud, du sérieux, ah ! toi aussi !

C’est un peu pour ça que le grand philosophe Mike Brant a dit un jour à  une fille,

« lèche moi t’aimer rien qu’une nuit ».

Du haut de ce mur de lamentations amoureuses que je me suis construis, je sais aujourd’hui que :

J’ai toujours mis un point d’honneur à attendre d’avoir faim pour manger. L’élégance, c’est ça : manger quand on a faim, boire quand on a soif, baiser quand on bande

Encore du Beigbeder…

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Commentaires

GNRONFOUN Komi H.
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Je reste admiratif devant le talent qui est tien, distingué salaud. Sous d'autres cieux.. Et bien vaut mieux que je me taise. Cherches ce nom sur YouTube : Fabrice Luchini. Cela pourrait bien te provoquer des orgasmes littéraires incontrôlés. Bien à toi, très cher.

Eteh Komla ADZIMAHE
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Je puis t'assurer que Fabrice Lucchini est ma "rock star". Je ne regarde que la télévision française (qu'y a t-il à voir sous nos cieux) et je prends un plaisir à écouter sa diction quand il vient sur les plateaux. j'ai même des vidéos de ses passages dans "On n'est pas couché"... . Je suis heureux qu'il ait d'autres admirateurs ici à l'instar de moi. En tout cas merci pour le commentaire !

Guy Muyembe
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Bravo l'artiste !

Eteh Komla ADZIMAHE
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Dis celui qui est le plat préféré des petites lushoises